Pour ceux qui suivent un peu les autres blogs, j'ai pris exactement le même vol que Baptiste. J'ai eu plus de chance que lui : le vol Lyon-Madrid était parfaitement à l'heure.
J'ai donc eu tout mon temps pour prendre ma correspondance (et des photos de l'aéroport). Tout mon temps, et même plus, car c'est là que les choses se sont gâtées.
Iberia ayant trouvé très raisonnable de pratiquer 20% de surbooking sur un vol transatlantique, on s'est retrouvé plus d'une vingtaine de passagers à ne pas avoir de place. Les autres vols avec correspondances par Buenos Aires ou São Paulo étant complets aussi, je n'ai pas eu d'autre choix que d'attendre 24h à Madrid pour le vol suivant. J'ai ensuite eu droit à un véritable parcours du combattant dans l'aéroport de Barajas pour obtenir les compensations etc. auxquelles nous avions droit - parcours au cours duquel j'ai fais la connaissance d'un jeune couple de sympathiques Stéphanois qui partaient en vacances. Mon espagnol rudimentaire a été d'ailleurs fortement mis à contribution, même si j'ai parfois eu la joie de tomber sur un employé à l'anglais irréprochable.
Mon terrain de jeu entre 22h et 3h : Madrid Baracas |
Au final, nous avons eu droit à 600 euros de compensation (que faire de tout ce cash !!) et à un hébergement gratuit de 24h dans un hôtel 4 étoiles proche de l'aéroport... Soit en tout probablement plus que le prix du billet d'avion.
J'ai déjà vu pire comme hall d'entrée... |
J'ai déjà vu plus petit comme thurne... |
Le lendemain, après avoir à peu près récupéré de cette nuit mouvementée, une petite promenade dans le quartier et le parc voisin (pas le temps pour une visite du centre, situé à plus d'une heure en métro de l'hôtel). Plus de détails dans un autre post !
C'est une nouvelle méthode de stage linguistique accélérée ...!
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